Dans les colonnes de La Tribune Dimanche ce 9 juin, Anne-Sophie Lapix a a reconnu avoir été snobée durant longtemps par Emmanuel Macron sans toutefois être sûre qu’elle est sur la liste noire. Il s’agirait peut-être d’un malentendu.
Brigitte Macron ne pourrait qu’être fière que son illustre mari, Emmanuel Macron, ne soit pas tombé dans le piège d’un ennemi redoutable. Il a refusé un test ADN.
Comme le rapporte « Le Parisien », le chef de l’État a refusé que son ADN soit prélevé pour un test PCR russe lors de sa visite à Vladimir Poutine en Russie pour tenter de désamorcer la crise en Ukraine.
Le chef de l’État a été immortalisé avec son homologue russe autour d’une table de 4 m.
Les autorités françaises s’attendaient à cette distance après qu’Emmanuel Macron a refusé le protocole sanitaire russe, qui impose un prélèvement ADN.
En réalité, c’était un piège des services de renseignement russes afin de déterminer l’état de santé actuel du mari de Brigitte Macron.
« Il ne faut pas tomber dans la paranoïa, affirme Michel Eltchaninoff,
spécialiste de la Russie, cité par Le Parisien. Ils ne prendraient par exemple pas le risque d’empoisonner un chef d’État. ».
Un proche du chef de l’État a plaisanté à ce sujet. « Nous ne craignions pas que les autorités (russes) en profitent pour mettre une cagoule sur la tête du président, lui injecter une puce dans le cou et lui couper les ongles », glisse-t-il.
« On ne sait pas à quelles fins ils auraient pu utiliser son ADN », précise cette fois un spécialiste de Russe. Mais il y a une méfiance logique quand on connaît les capacités scientifiques russes dans ce domaine ». Le chef de l’État aurait pu être cloné !
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