Et cet épisode traumatique vécu l’épouse du prince Albert de Monaco est rapporté par le magazine France Dimanche, qui s’appuie sur une révélation de la journaliste sud-africaine Arlene Prinsloo, l’auteure du biographie consacrée à la maman de Jaques et Gabriella, « Charlène story : l’étonnant destin de la nageuse devenue princesse de Monaco (éd. de l’Archipel, parution le 25 mai prochain).
« C’est une femme fascinante, il y a eu tant de rumeurs à son sujet, il y a comme un voile secret autour d’elle, de sa vie, comme si l’on ne pouvait pas vraiment en parler, donc j’ai dit oui et j’ai écrit le livre. J’ai lu tout ce que je pouvais trouver sur Charlène, absolument tout ce qui était disponible », a confié lors d’un entretien accordé à Gala cette spécialiste des têtes couronnées.
Et l’épisode traumatique en question est la fuite des parents de Charlène de Monaco, avec leurs trois enfants du Zimbabwe après l’incendie de leur maison au début des années 80.
C’était pendant la « guerre du bush » (1972-1979) « qui a abouti à la disparition de la Rhodésie du Sud ».
« Les Wittstock ont séjourné dans un hôtel pendant un an avant d’émigrer en Afrique du Sud », a fait savoir Arlene Prinsloo dans son livre. Charlène de Monaco n’était âgée que de 11 ans.
« Mon père nous a dit : “Faites votre deuil, nous n’y retournerons pas.” Mes frères avaient 6 et 9 ans. Tous mes amis, les dimanches après-midi où nous jouions au cricket dans les fermes… la vie que j’avais connue était finie. », a-t-elle confié.
L’exil en Afrique du Sud fut difficile au début, comme elle en avait parlé lors d’un entretien accordé à Paris Match.
« On m’a séparée des autres enfants. J’ai été témoin des injustices et des inégalités auxquelles peuvent être soumis les enfants. », disait par ailleurs l’ex-nageuse.