
Charlène de Monaco, originaire d’Afrique du Sud, a intégré la famille princière de Monaco depuis une quinzaine d’années. Pourtant, elle éprouve encore des difficultés à s’exprimer en français, la langue officielle de la principauté.
Même entourée de ses proches après son retour à Monaco après une hospitalisation de quelques mois sur le Rocher, Charlène de Monaco ne serait pas remis d’aplomb. Elle serait aux prises avec une immense solitude. L’épouse du prince Albert de Monaco serait inconsolable.
D’après « Royauté », elle serait indéchiffrable et en détresse.
Le magazine ne revient pas sur sa convalescence en principauté, mais évoque sa personnalité mystérieuse.
Cela fait plusieurs semaines que ceux qui ne connaissent Charlène de Monaco dans l’intimité ont pris la parole pour tenter de « démêler les zones d’ombres autour de sa personnalités ».
Et c’est une occasion d’assurer que cette ancienne sportive de haut niveau est « iconoclaste », qui refuse de marcher catégoriquement dans les pas de Grace Kelly, sa regrettée belle-mère, q ui aurait aussi vécu les mêmes tourments que Charlène.
Pour Joel Stratte-McClure, spécialiste des têtes couronnées, qui s’est confiée au New York Time, Grace Kelly a, elle aussi, vécu une période « terrible durant les premières années de son mariage, comparable à ce que traverse Charlène aujourd’hui ».
Et ces propos sont soulignés par un proche des Grimaldi.
« Charlène a toujours eu soit un air de détachement total par rapport à ce qu’on pouvait penser d’elle, soit un masque de souffrance que rien ne pouvait illuminer », a confié une source proche dont l’identité n’est pas livrée.
« Elle a toujours été difficile à cerner, indéchiffrable. Elle n’était pas une femme trophée, comme on en croise souvent à Monaco. Elle n’était pas non plus une intrigante ».
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