La journaliste vedette de la première chaine a été évincée de la présentation des journaux du week-end de TF1 après 24 ans de service.
Claire Chazal aurait aimé préparer son départ.
’Claire n’a pas de ressentiment. Elle regrette la décision, mais la prend de manière rationnelle, c’est une pro’, confie tout d’abord un soutien de Claire Chazal dans les colonnes du Monde.
La journaliste aurait préféré aller la tête haute souligne cette fois Patrick le Lay, qui fut président de TF1 de 1998 à 2008. Il affirme cependant que Claire Chazal se savait menacée depuis longtemps.
’Ce n’est pas un problème d’audience ou de popularité, TF1 veut changer la couleur de l’antenne et donner une nouvelle image, explique-t-il au Monde. A un moment, tout s’arrête. La période de l’été était difficile pour Claire. A chaque rentrée, elle se demandait si elle allait reprendre’.
Ce propos est conforté par ’Closer’ qui prétend que Claire Chazal était dans le collimateur de Nonce Paolini , le patron du groupe TF1 depuis de nombreuses années, à cause de l’épisode Laurence Ferrari.
Il l’a en effet ’toujours tenu responsable du mauvais accueil des équipes envers son poulain, Laurence Ferrari’, indique la publication.
Claire Chazal ne s’est « jamais exprimée en mauvais termes sur Laurence Ferrari en public », mais « en coulisses, la guerre des blondes’ avait fait rage ». « Nonce Paoloni n’a jamais digéré ce parasitage et le fait payer aujourd’hui’.