France Dimanche revient sur cette supposée emprise en se basant sur les révélations de la journaliste Hélène Devynck, qui revient sur les nombreuses accusations portées contre l’ex-Pape du 20 heures de TF1.
Et dans son ouvrage, la relation de PPDA avec Claire Chazal est relatée.
Celle-ci n’a jamais souhaité l’incriminer, sans doute pour protéger leur fils.
« Hélène Devynck y décrit une réalité sordide », indique la publication avant de relayer des extraits de l’ouvrage.
PPDA « a mis dix ans à reconnaître leur enfant », François.
« En attendant, elle ne s’autorisait pas à dire publiquement qui était le père. De son côté, il organisait de fausses photos volées, convoquait les paparazzis pour capturer les images de leur fils dans ses bras sous des ciels exotiques et gratuits (sa radinerie était proverbiale) », a-t-elle indiqué.
Des rumeurs « circulaient sur d’autres violences ».
« Il aurait déchiqueté sa garde-robe avec des ciseaux, pissé sur le canapé d’un rival. Je ne sais pas si c’est vrai ou pas. Ce que je sais, ce que tout le monde savait, c’est que la souffrance de sa compagne était exposée et massive », a-t-elle indiqué.