Dany Boon était l’invité de Frédéric Lopez dans Un dimanche à la campagne ce 24 novembre. Lors de cet échange, l’humoriste et réalisateur s’est confié sur son enfance dans le Nord, ses origines modestes et un épisode marquant lié au décès de son père en 1992.
C’est au tout début de sa carrière que Dany Boon perd son père,atteint de leucémie.
Dans l’émission, il revient sur un moment particulier qui l’a marqué à jamais.
Alors qu’il jonglait entre ses débuts sur scène à Paris et des visites régulières au CHU de Lille, il raconte avoir fait un rêve marquant. La nuit de la mort de son père, il rêve de lui pour la dernière fois.
« Il me disait que tout allait bien », a indiqué celui qui serait séparé de Laurence Arné.
Quelques heures plus tard, il est réveillé par un appel des médecins lui annonçant le décès.
Dans un autre entretien, il expliquait que son père était réticent à l’idée qu’il se lance dans une carrière de comédien.
« Mon père est très sévère, très dur avec moi. Plus sévère avec moi qu’avec les autres parce que je suis l’aîné, je dois montrer l’exemple. Quand je lui dis que je veux être artiste, il me regarde et il me dit : ’Jamais. Tu vas être clochard, c’est ça que tu veux ? », témoigne-t-il.
« Il en a bavé, il travaillait très jeune aussi. Mais c’est normal. Le seul lien qu’on avait avec le milieu artistique, c’était la télé. Michel Drucker, les films, le ciné-club. La télévision était la source culturelle de la maison, elle était allumée tout le temps parce que c’est un acquis social donc il fallait qu’elle reste allumée, même pendant les repas », s’était-il souvenu.
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