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En couple depuis trois ans, Dimitri Rassam et sa tendre épouse, Charlotte Casiraghi, ne manquaient pas d’être intrigués par une surprenante accusation, celle de terrorisme, portées contre un proche.
Elle visait Jean-Pierre Rassam, le regretté père de Dimitri.
Cette étrange accusation est rappelée par Carole Bouquet qui fait la Une du dernier "Vanity Fair", où elle rappelle qu’elle-même a été placée sur écoute sur décision de François Mitterrand.
Au procès, les gens de la GGSE "ont mis cela sur le compte de la raison d’État. Mon nom est alors sur la même liste que des terroristes ou des journalistes qui couvrent des questions liées au terrorisme".
Les autorités auraient soupçonné son mari d’être un marchand d’armes, qui aurait lien avec des groupes au Liban, "mais aussi avec le président algérien Chadli Bendjedid que Jean-Pierre avait connu lorsqu’il avait produit Chroniques des années de braises de Mohammed Lakhdar-Hamina en 1975".
Le président algérien avait même vécu chez le père de Dimitri Rassam.
Mais cette allégation n’est pas crédible puisque comme le précise Carole Bouquet dans Vanity Fair, son regretté mari a perdu la vie le 28 janvier 1985, et les écoutes ont continué bien plus tard.
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