Juste avant son mariage avec Charlotte Casiraghi, la mère de son second enfant, le producteur Dimitri Rassam a découvert qu’il n’était pas baptisé et a été « forcé » de remédier à cette situation.
Si Dimitri Rassam, le fiancé de Charlotte Casiraghi, s’est éloigné de la drogue, c’est en grande partie grâce à sa mère, Carole Bouquet, rappelé un média allemand.
Le magazine « Bunte » a consacré un dossier au fiancé de l’héritier Grimaldi intitulé « le sombre secret de famille », occasion de revenir sur son parcours, et de rappeler que son père, le producteur Jean-Pierre Rassam a été perdu la vie à cause de sa dépendance aux accro aux médicaments et aux drogues.
Et ce fut aussi le cas de sa tante, et de son cousin, l’acteur Julien Rassam, fils du réalisateur et producteur Claude Berri.
Le 18 octobre 1998, il se défenestre sous les yeux de Marion Cotillard, sa compagne de l’époque, depuis le troisième étage de l’Hôtel Raphael à Paris. Devenu tétraplégique, il se suicide en 2002.
Dimitri Rassam est calmé. « Je ne suis pas dans l’autodestruction , je ne fume pas, j’ai dû boire mon premier café à 26 ans, je suis à l’opposé de l’excès », a-t-il confié.
Et ce serait grâce à sa mère, Carole Bouquet, qui a été accro à la drogue à l’âge de 20 ans suite à la mort de son père. Mais elle a réussi à en finir de sa dépendance.
« Facile à dire, pas facile à faire. J’ai été élevée avec l’idée du sens de l’effort. Ça m’a permis de garder les pieds sur terre et de ne pas plonger », avait-elle confié.
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