Invité de Rencontres du Papotin, rendez-vous de France 2, Benoît Magimel a eu l’occasion face aux journalistes amateurs de se livrer sur ses « démons » intérieurs. Il déplore certaines pulsions qui ont gâché son quotidien.
Fabrice Éboué a lancé un défi à la Maire de Paris Anne Hidalgo, avec qui il s’écharpe depuis ce week-end sur les réseaux sociaux.
Hier sur Facebook, la Maire de Paris avait répondu à l’humoriste qui poussait une gueulante contre « la journée sans voiture » qui avait eu lieu à Paris ce dimanche 25 septembre 2016.
« Comme de nombreux internautes, j’ai été particulièrement touchée par votre vidéo, publiée hier matin sur les réseaux sociaux. Votre mine désemparée, votre gorge nouée par l’émotion, vos yeux embués de larmes à l’idée terrible de devoir renoncer à votre voiture, m’ont fait prendre conscience de la gravité de la situation", continue-t-elle avec une ironie toute assumée. L’élue socialiste poursuit : "Quelle épreuve terrible, pour ne pas dire insurmontable, d’être contraint un jour par an, à l’occasion de la Journée sans voiture, de renoncer à son véhicule individuel ! Depuis 24h, j’ai donc mobilisé tous nos experts, scientifiques et innovateurs, afin de concevoir une solution qui vous permette, lors de la prochaine Journée sans voiture, d’effectuer sereinement votre trajet Paris-banlieue. Je suis heureuse de vous annoncer que LA solution a été trouvée. Elle est expérimentée aujourd’hui même par plusieurs millions d’audacieux Parisiens et Franciliens. Je vous invite à la découvrir au lien suivant : http://ratp.fr/ », écrit-elle.
Ce mardi 27 septembre, Fabrice Eboué a montré qu’il avait pris en compte les conseils de la maire de sa ville.
Sur sa page Facebook, il a donc mis en ligne une vidéo dans laquelle on peut le voir faisant semblant de souffrir dans un métro.
« Ça y est Anne c’est fait, j’ai pris le métro comme tu me l’avais demandé », s’amuse Fabrice Eboué. « J’ai relevé ton défi, à toi de relever le mien. Je te demande de prendre le RER D après 22 heures, entre Saint-Denis et Sarcelles ».
« PS : Maintenant que nous sommes réconciliés, serait-il possible de trouver une place en crèche pour mon fils, nous galérons depuis deux ans ? Je sais que vous êtes très occupée avec votre nouveau projet de parcs nudistes à Paris, mais comprenez au combien je préférerais que mon enfant croise une puéricultrice avant un pénis. Encore merci pour votre lettre chaleureuse, la bise à vos conseillers et à votre chauffeur qui m’a bien confirmé que vous ne conduisez jamais ! ».
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