Iris Mittenaere a été photographiée dans les rues de Paris par le magazine Voici, quelques jours avant son témoignage dans la bataille judiciaire l’opposant à son ex-compagnon Bruno Pelat. Elle l’accuse de violences conjugales.
Le procès est prévu dans quelques jours.
Sur les clichés publiés par le magazine, l’ancienne Miss France semble détendue.
Pourtant, elle supporte mal d’être constamment sous l’objectif des photographes. En raison de sa forte médiatisation, elle a développé des crises d’angoisse et du somnambulisme, un problème qu’elle avait déjà évoqué dans un documentaire diffusé sur Amazon Prime.
Iris Mittenaere y partageait ses ressentis face aux paparazzis. « On ne se rend pas compte, mais tout le monde te prend en photo tout le temps, même discrètement au téléphone. Tu as des photos de toi qui sortent alors que tu n’avais même pas anticipé. J’ai des photos de moi dans toutes les situations possibles. Tu sors de l’avion, ils sont là, tu te promènes dans la rue, ils sont derrière un arbre. Ils sont partout, et cela te rend un peu fou. Tu ne te sens même pas en sécurité seule chez toi, ça va jusque dans ta chambre, dans ton lit. Tout me rattrape au moment où je ferme les yeux », expliquait-elle.
Elle poursuivait en décrivant les effets de ce stress constant. « Au moment où je ferme les yeux, on s’imagine qu’on va plonger dans le noir et s’endormir paisiblement », disait celle qui, dans l’épreuve, peut compter sur le soutien de Calypette, son amie à quatre pattes.
« Tout ce que je vois, c’est du blanc, les flashs qui m’aveuglent, les photographes devant, derrière, sur les côtés, des cris, des gens cachés… Cette angoisse d’être photographiée sans arrêt provoque des crises de somnambulisme », faisait-elle savoir.
« Je me mets à chercher des vêtements pour me couvrir, à hurler, à leur demander d’arrêter de me prendre en photo. Je me sens poursuivie, même jusque dans mon lit. »
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