L’ex-pape du 13 heures s’est dit choqué par le traitement de cette affaire de moeurs dans la presse.
« C’est lamentable que ce genre d’affaire sorte dans la presse », a-t-il indiqué, rappelant que dans cette affaire médiatisé, il y a deux plaignants.
« On verra qui est la victime », a-t-il poursuivi, rappelant que tant que l’enquête n’est terminée, on « ne peut rien dire ».
Il a cependant mis en doute les allégations du Parisien, qui affirmait que les nouvelles recrues à TF1 étaient prévenues de ne pas prendre l’ascenseur avec PPDA.
« Un mensonge », a-t-il indiqué. « Le Parisien cite des journalistes de TF1. Et il n’y en a plus qui ont connu cette époque ou pratiquement pas », insiste le mari de Nathalie Marquay. « C’est un mensonge total. L’ascenseur, ce n’était pas avec PPDA, c’était avec un autre, un homme politique ». L’identité de celui-ci n’est pas précisée.
PPDA est « un homme qui aimait les femmes, quelqu’un qui n’a jamais caché son amour pour les femmes ».
« Patrick, son bureau était au milieu de la rédaction, s’il s’était passé quelque chose dans ce bureau, on l’aurait vu, a ajouté Jean-Pierre Pernaut avant de poursuivre : « Patrick aimait les femmes, il aimait discuter avec elle, les convaincre. Il est dans la vie comme il est dans ses livres. (...) Les témoignages cités dans Le Parisien, j’aimerais connaître la liste de ceux qui ont témoignés car ils sont mensongers."