
Ces derniers temps, tout réussit à Meghan Markle ! Sa série à succès sur Netflix, dont une deuxième saison est déjà dans les tuyaux, et l’annonce imminente de son nouveau podcast la placent sur le devant de la scène.
Fils de président, ancien adolescent hypermédiatisé, et désormais pressenti à la mairie de Menton, Louis Sarkozy trace sa route.
On se souvient tous du jeune Louis Sarkozy, arrivant timidement à l’Élysée... Puis de l’ado courant dans la cour du palais, baskets aux pieds et mèche rebelle, enfant d’un président au sommet de sa carrière... Ou encore de son inimitié avec Léonard Trierweiler, avec qui il s’écharpait sur Twitter.
Cependant, aujourd’hui, le décor a changé : ce n’est plus sur les bancs de l’école, les tapis rouges ou la Toile que le fils de Nicolas Sarkozy fait parler de lui, mais dans les coulisses de la politique.
Eh oui, incroyable mais vrai, le jeune homme de 27 ans serait pressenti pour se présenter à la mairie de Menton, une petite ville balnéaire nichée au bord de la Méditerranée, dans les Alpes-Maritimes. Une commune paisible d’environ 30 000 habitants, bien loin du faste de la République.
À en croire les rumeurs qui circulent localement, c’est là que Louis Sarkozy pourrait faire ses premières armes en politique. Selon certaines indiscrétions, il aurait même déjà rencontré des figures influentes de la région, serait en train de constituer une équipe et envisagerait sérieusement de se lancer aux élections municipales de 2026.
Une candidature surprenante ? Pas forcément ! Titulaire d’un master de diplomatie et relations internationales de l’American University à Washington D.C. et passionné de philosophie, celui qui est chroniqueur sur LCI semble vouloir échanger son rôle d’observateur contre celui d’acteur.
Le choix de cette ville ne serait pas un simple hasard. D’abord, parce que Louis Sarkozy, qui s’était lâché sur l’Algérie, connaît bien le Sud. Entre les vacances d’enfance et les attaches familiales, la région est presque un fief sentimental pour lui.
Ensuite, parce que la nouvelle coqueluche des médias s’inquiète de voir la ville « en passe de tomber entre les mains du Rassemblement national », a-t-il confié au Figaro.
Un terrain de conquête donc parfait pour une figure de droite au nom bien connu.
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