Comment Meghan Markle a « forcé » Harry à quitter la famille royale ?
Le photographe royal Arthur Edwards, qui a suivi le prince Harry et Meghan Markle pendant de nombreuses années, a livré une surprenante révélation sur le couple.
Meghan Markle et Prince Harry : énigmatiques profits avec leur fondation, un coup dur pour la famille royale
Malgré leur brouille avec la famille royale, Meghan Markle et le prince Harry ne sont pas au bord de la faillite. Bien au contraire, le couple a réussi à remporter un joli pactole depuis son départ outre-Atlantique. En effet, ils ont fait de leur engagement caritatif une priorité avec la création de leur fondation Archewell.
Les dons affluant, ils ont réussi à cumuler d’importantes donations en peu d’heures de travail. La famille royale le vivrait mal. Les Sussex seraient ainsi amenés à déballer davantage sur le Palais.
Les prochaines années seraient encore plus dures !
Leur collaboration avec Netflix a également porté ses fruits, avec la diffusion en décembre dernier de la mini-série "Harry & Meghan" qui a battu des records historiques de visionnage.
La plateforme américaine a donc signé un nouveau format documentaire avec le couple. Mais ce n’est pas tout, leur livre "Le Suppléant », où Charles et William ont pris pour leur grade, a aussi connu un succès retentissant avec des millions d’exemplaires vendus.
Le duc et la duchesse du Sussex ont par ailleurs fait appel à un conseiller en investissement capital-risque pour faire fructifier leur porte-monnaie.
Et en matière de charité, Meghan Markle et le prince Harry ont le nez fin, avec la création de leur fondation Archewell qui finance de multiples œuvres caritatives, rapporte le média britannique The Express.
Les documents révèlent qu’ils ont récolté environ 13 millions de dollars de dons privés et 4 500 dollars de dons publics au cours de l’année 2021.
Des donations qui ont ainsi permis de livrer des vaccins dans le monde entier pendant la crise du COVID-19, de venir en aide à des communautés fragilisées ou à des résidents de zones sinistrées.
Malgré tout, les Sussex cumulent peu d’heures travaillées, soit seulement 52 heures par an, soit un total d’une heure par semaine.
Mais leur réussite financière serait perçue comme un camouflet pour le Palais, qui ne peut plus compter sur eux pour financer leur luxueux train de vie aux États-Unis. Le roi Charles ne pourrait plus les faire chanter, comme il l’aurait fait dans le passé.
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