« Je ne pense pas que nous donnions assez de crédit à la princesse Anne », a confié une spécialiste des têtes couronnées, citée par le magazine « In Touch ». « Elle est l’une de nos ‘Royales’ qui travaille le plus dur, montre toujours un tel sens du devoir, de la loyauté et ne se plaint jamais. Un acte de classe ».
Et ce serait elle à qui reviendrait la mission de recadrer et de parler directement au duc et la duchesse du Sussex avant de leur retour aux États-Unis. Un clash en perspective.
« Anne a passé les cinq derniers jours à ne jamais quitter sa mère, alors que ce « ver » de Harry ne pouvait pas se donner la peine de lui rendre visite », a déploré une source proche de la famille. Le second fils du prince Charles savait pourtant sa grand-mère fragilisée, il aurait pu faire un effort et l’aménager.
« Anne va le rappeler à ses devoirs envers sa famille », indique cette source.
Si le prince Harry déballe dans sa biographie, le Palais ne se retiendrait plus. Ses relais seraient à l’affût. Un aperçu sur son passé de militaire en Afghanistan a déjà fuité dans l’ouvrage The Palace Papers : Inside the House of Windsor en guise de mise en garde.
« Harry avait une équipe de protection des forces spéciales, et sa présence mettait les autres en danger », précisait une source. Les pages 256 et 257 des Palace Papers rappellent qu’il a été éloigné du conflit par une équipe de protection, et dix soldats des services aériens spéciaux lourdement armés ».
« Ce n’est PAS un héros, il a été protégé alors que sa présence là-bas a fait tuer des hommes », glissait cette source proche du Palais.
D’autres détails pourraient fuiter, cette fois sur sa vie sentimentale, et sur sa prétendue toxicomanie.