Pascal Praud, le présentateur star de CNews, a été informé de la dissolution de l’Assemblée Nationale par un conseiller d’Emmanuel Macron, bien avant que le Premier ministre Gabriel Attal ne soit mis au courant.
Pascal Praud a une nouvelle fois perdu son calme dans son émission sur C News, l’heure des Praud, suite à un échange musclé avec Élisabeth Lévy, au sujet de l’affaire Olivier Duhamel, accusé d’abus sexuels sur son beau-fils.
Le journaliste n’a pas du tout apprécié les commentaires d’Élisabeth Lévy qui a tenté de défendre la position d’Alain Finkielkraut, écarté par LCI suite à ses propos polémique sur cette affaire. Il est supposé avoir été complaisant avec le célèbre politologue, ce dont il se défend.
« LCI me bâillonne. Je suis sous le choc. On ne vire pas les gens pour ça »,lâchait-il dans le Parisien, demandant à la direction de la chaine d’information en continu de réécouter ses propos dans leur intégralité.
« Comme si j’avais commis un délit irrémédiable. Mais qu’on écoute mes propos dans leur intégralité ! Et si on les trouve toujours ambigus, qu’on me demande de m’expliquer à l’antenne ».
Cet épisode, Pascal Praud y revient dans son émission, occasion de donner la parole à Elizabeth Levy, qui a tenté de défendre Alain Finkielkraut avec lequel elle anime sur Radio RCJ une émission hebdomadaire, L’esprit de l’escalier.
"Il a eu tort d’employer le mot de consentement parce que ce mot est fétichisé, fait hurler tout le monde", a-t-elle indiqué. Alain Finkielkraut a voulu restituer sa singularité à une histoire dont tout le monde fait un étendard sans savoir réellement ce qu’il s’est passé".
"Il s’est interrogé sur la singularité de cette histoire Il aurait dû, peut-être, dire ’acquiescement’ ou ’consentement formel’", a-t-elle expliqué.
Ses propos, Pascal Praud n’y a pas goûté.
"C’est choquant, ce que vous dites", a lâché l’animateur de C News.
"Soyez choqué. Acceptez d’être choqué et de m’écouter jusqu’au bout !", a poursuivi la polémiste. Le ton est vite monté. "Il faut que vous soyez claire !", lui demande Pascal Praud, qui n’a pas été convaincu par ses explications.
"Ce que vous dites, c’est du délire".
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