Omid Scobie, proche confident de Meghan Markle et du prince Harry, secoue les fondations de la famille royale britannique en exprimant des craintes quant à la survie même de la monarchie. Il a relayé un article du Daily Mail allant dans ce sens.
Le prince Harry a peut-être franchi une ligne rouge aux yeux des autorités américaines, et a-t-il brisé le coeur de Meghan Markle, la mère de ses enfants ?
D’après In Touch, qui cite l’avocat californien Neama Rahmani, l’admission de consommation de drogue dans son autobiographie pourrait le rendre inéligible à la résidence aux États-Unis et entraîner son expulsion du pays.
Une telle confidence est en effet généralement considérée comme un motif de refus de visa, et il est possible que le mari de Meghan Markle, n’en ait pas parlé dans sa demande de visa.
Sa consommation de drogue remonte à son adolescence, époque trouble au coeur de laquelle il a « consommé de l’alcool, de la marijuana et de la cocaïne ».
Dans son autobiographie, le Suppléant, le second fils de Charles, qui fera un retour à Londres pour le couronnement de son illustre père, en parle sans remords.
L’héritier Windsor expliquait que cela lui avait permis de libérer certaines choses qu’il avait refoulées. Mais cette confession pourrait aujourd’hui lui coûter cher, car les conséquences juridiques d’une fausse déclaration peuvent aller jusqu’à dix ans de prison.
Si jamais Harry est expulsé des États-Unis, il n’aurait pas beaucoup d’options. Il ne semble pas y avoir de réconciliation possible avec sa famille en Angleterre, avec qui les relations sont très tendues. Sa femme Meghan, qui a des racines américaines, apprécie la vie de luxe en Californie et ne serait pas disposée à abandonner « tout cela pour les erreurs de son mari ».
Dans tous les cas, le prince Harry aurait dû se rappeler que « la parole est d’argent et le silence est d’or, surtout lorsque l’on est un membre de la famille royale ».
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