Depuis l’élection de Donald Trump, la situation de Meghan Markle et du prince Harry sur le sol américain est remise en question par certains observateurs.
Malgré toute l’influence qu’elle a le prince Harry, le père de ses deux enfants, Meghan Markle aurait dû mal à lui faire oublier un épisode traumatisant, celui de son grand retour d’Afghanistan, où il a officié durant quelques années.
Le Palais royal avait à l’époque pris une décision radicale, celle de rapatrier le prince Harry lorsque sa présence a fuité. Sa base a été attaquée à plusieurs reprises. Pas question de prendre des risques.
Le mari de Meghan Markle était contraint de faire son grand retour dans un aérodrome à l’ouest Oxford, la base RAF Brize Norton. Le prince William, ainsi que le prince Charles était allé à sa rencontre.
C’est là que les blessés d’Afghanistan sont rapatriés et le prince Harry a dû partager le même vol que trois autres hommes grièvement touchés.
Comme le précise l’historien Robert Lacey, auteur de « Guerre royale - Mensonges et trahisons. », repris par Closer Uk, l’un d’eux était toujours dans « le coma et tragiquement agrippé à l’éclat d’obus que les chirurgiens lui avaient retiré du crâne ».
Le prince Harry avait ouvert son cœur à ce sujet.
« Pendant que j’attendais pour embarquer, racontait le papa de deux enfants. Le cercueil d’un soldat danois était chargé à bord par ses amis ».
« Ma conception de l’engagement et du sacrifice en a été changée à jamais. », a-t-il indiqué.
C’est cet épisode qui lui inspiré ses Jeux Invictus à destination des vétérans de guerre handicapés.
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