Près de 20 ans après la mort de sa maman, Lady Diana, en 1997, des suites d’un accident de voiture, le prince Harry a suivi une thérapie, histoire d’oublier ce terrible épisode qui l’a privé de sa maman.
« Ma façon de faire face à ça a été de pratiquer la politique de l’autruche, de refuser de penser à ma mère, car en quoi cela pouvait-il m’aider ? Cela pouvait juste me rendre triste, cela n’allait pas me la ramener », explique le prince Harry dans les colonnes du Telegraph. Il a perdu sa maman alors qu’il n’était âgé que de 12 ans.
Et de confirmer qu’après des années d’attente, il s’est finalement résolu à suivre une thérapie à l’âge de 28 ans.
C’est son frère ainé, le prince William, qui lui a soufflé l’idée.
« Pendant 20 ans, je n’ai pas pensé à ça et ensuite j’ai été plongé dans un chaos total durant deux ans... Je ne comprenais pas ce qui n’allait pas avec moi, révèle-t-il.
Le cinquième dans l’ordre de succession à la couronne britannique avoue avoir frôlé la dépression à plusieurs reprises.
« Je n’ai aucun secret, mais j’ai sûrement été proche de la dépression à plusieurs reprises », conclut ce passionné de boxe, qui envisagerait d’unir sa destinée à celle de Meghan Markle, l’héroïne de la série "Suits", photographiée cette semaine avec une "bague" qui serait celle de ses fiançailles.