C’est d’ailleurs, ce qu’affirme la version allemande du magazine « In Touch », « tout s’effondre ».
Cette fois, il n’est pas question de sa supposée brouille avec le prince Harry, mais d’une récente enquête YouGov qui révèle que sa popularité au Royaume-Uni est au plus bas.
« Plus de deux tiers des Britanniques (soit 68 %) ont une opinion négative de Meghan Markle, l’associant à son passé avant son mariage avec le prince Harry, tandis que seulement un cinquième (soit 21 %) conserve une attitude positive à son égard », précise la publication.
Les critiques « s’accumulent » sans relâche dans les tabloïds britanniques, qui l’accusent de laisser tomber ses amis, générant ainsi des titres provocateurs tels que "Qui a Meghan Markled ?".
Les tensions au sein de la famille royale n’arrangent rien. Des rumeurs circulent sur des désaccords entre Meghan Markle, le prince Harry, le roi Charles III et le prince William, héritier du trône britannique.
Le podcast « Archetypes » de Meghan Markle, qui avait pour ambition de donner la parole à des femmes éminentes, s’est également soldé par un échec après seulement douze épisodes. « Les critiques accusent le couple d’avoir été trop gourmands, notamment le patron du podcast Spotify, Bill Simmons ».
Malgré tout, le duc et la duchesse de Sussex ont trouvé refuge à Montecito, en Californie, où ils vivent dans une magnifique propriété avec piscine. Ils sont aussi engagés dans des actions philanthropiques grâce à leur Fondation Archewell, qui soutient des causes telles que la santé mentale et la préservation de la faune. Une lueur d’espoir dans un ciel assombri.
Son effondrement est donc relativement.