
La sécurité de Kate Middleton et le prince William serait compromise. Et l’annulation d’un grand événement prévu initialement dans les jardins du palais de Kensington semble le confirmer.
Avec son geste, le prince William aurait ravivé les fantômes du passé. A l’heure où son illustre père, Charles III, lutte contre le cancer, l’héritier du trône « jette une ombre inattendue sur la scène royale ». Une trahison !
Le magazine France Dimanche affirme que le prince William aurait trahi son illustre père, en faisant appel au prestigieux cabinet d’avocats Mishcon de Reya, celui-là même qui avait épaulé la princesse Diana lors de son divorce explosif avec le souverain.
Simple coïncidence ou signal délibéré ? Acte pragmatique ou provocation symbolique ? Le palais bruisse de questions.
Cette démarche du prince William, désormais en première ligne des engagements royaux, ne passe pas inaperçue. Pour certains observateurs, c’est une claque feutrée, un affront diplomatique à son propre père.
Pour d’autres, il s’agit d’un pas mûrement réfléchi vers "l’après-Charles III". Car dans les couloirs de Buckingham, l’Histoire n’est jamais bien loin.
Dans une monarchie où chaque fait et geste est scruté à la loupe, la décision de William, habituellement perçu comme le fils loyal et l’héritier rassurant, le présente soudain sous un nouveau jour : celui d’un acteur de l’ombre, guidé par une ambition à peine dissimulée.
Certains courtisans murmurent que le prince, depuis la maladie de son père, prendrait goût aux projecteurs du trône.
Il se montrerait plus directif, plus autoritaire, parfois plus secret. D’autres assurent qu’il ne fait que protéger l’institution et préparer l’avenir dans le respect des règles établies.
Mais pour Charles, cette décision résonne comme un douloureux rappel d’une époque qu’il souhaiterait oublier à jamais. Mishcon de Reya était l’allié de Diana, celui qui a terni l’image de la couronne et exposé les failles de la famille Windsor aux yeux du monde entier.
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