Sandrine Rousseau revient sur son clash avec Christine Angot
Pour la première fois depuis son clash avec Christine Angot Léa Salamé défend Christine Angot après son clash avec Sandrine Rousseau dans le cadre de ONPC sur France 2, Sandrine Rousseau revient sur cette passe d’armes.
« Ce moment de télévision, il faudra le regarder dans quelques mois. Il dit la difficulté qu’ont les femmes à parler, il dit aussi toute la violence que sont les violences sexuelles et à quel point il y a une forme d’incompréhension », explique-t-elle au micro d’Europe 1, où elle est invitée pour parler de son livre « Parler ».
Dans cette ouvrage, il y est question de l’agression sexuelle dont elle a été victime de la part de Denis Baupin, ex député de Paris.
« C’est évidemment avant tout une affaire privée » poursuit Sandrine Rousseau, confirmant les propos de Christine Angot, qui disait que cette affaire est surtout intime.
« Simplement il y a des déterminants sociaux dans ces harcèlements sexuels. Aujourd’hui, il y a 1% des auteurs d’agression, de viols et de harcèlement sexuels qui sont condamnés. Ça dit aussi qu’il y a des déterminants sociaux.
Et que ce n’est pas seulement une question privée mais aussi une question collective. Et c’est ce que j’essaye de dire », ajoute l’élue EELV. « C’est le trait d’union que j’essaye de faire entre la femme politique et l’affaire privée qui est la mienne et ce trait d’union peut servir. J’ai un statut presque privilégié par rapport à plein de femmes qui n’ont pas le pouvoir de parler et qui n’ont pas l’oreille attentive que nous on peut avoir. C’est aussi une forme de responsabilité que j’assume ».
emière fois depuis son clash avec Christine Angot Léa Salamé défend Christine Angot après son clash avec Sandrine Rousseau dans le cadre de ONPC sur France 2, Sandrine Rousseau revient sur cette passe d’armes.
« Ce moment de télévision, il faudra le regarder dans quelques mois. Il dit la difficulté qu’ont les femmes à parler, il dit aussi toute la violence que sont les violences sexuelles et à quel point il y a une forme d’incompréhension », explique-t-elle au micro d’Europe 1, où elle est invitée pour parler de son livre « Parler ».
Dans cette ouvrage, il y est question de l’agression sexuelle dont elle a été victime de la part de Denis Baupin, ex député de Paris.
« C’est évidemment avant tout une affaire privée » poursuit Sandrine Rousseau, confirmant les propos de Christine Angot, qui disait que cette affaire est surtout intime.
« Simplement il y a des déterminants sociaux dans ces harcèlements sexuels. Aujourd’hui, il y a 1% des auteurs d’agression, de viols et de harcèlement sexuels qui sont condamnés. Ça dit aussi qu’il y a des déterminants sociaux.
Et que ce n’est pas seulement une question privée mais aussi une question collective. Et c’est ce que j’essaye de dire », ajoute l’élue EELV. « C’est le trait d’union que j’essaye de faire entre la femme politique et l’affaire privée qui est la mienne et ce trait d’union peut servir. J’ai un statut presque privilégié par rapport à plein de femmes qui n’ont pas le pouvoir de parler et qui n’ont pas l’oreille attentive que nous on peut avoir. C’est aussi une forme de responsabilité que j’assume ».
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