Anne-Sophie Lapix s’est confiée dans les colonnes du Parisien sur ses relations tendues avec les personnalités politiques. Parmi elles, Gabriel Attal, qui, selon elle, refuse systématiquement ses invitations à l’antenne.
Malgré elle, Anne-Sophie Lapix aurait semé la zizanie entre Eric Zemmour et sa conseillère politique, Sarah Knafo, qui est aussi sa compagne. Le travail de celle-ci aurait été bâclé.
Paris Match précisait le rôle de la magistrate de la cour des comptes auprès du candidat de l’extrême droite à l’Élysée. Elle lui préparerait ses fiches.
« Quand Zemmour a rejoint CNews, c’est elle qui lui a proposé de l’aide, rédigeant des fiches sur le nucléaire, l’environnement, la délinquance, mettant à profit la camaraderie des énarques pour compléter ses connaissances, dénicher quelques chiffres utiles », précisait la publication.
Visiblement, ce 1 février, sur le plateau du JT de France 2, présenté par Anne-Sophie Lapix, les fiches d’Eric Zemmour semblaient incomplètes, ce que la journaliste a relevé, surtout sur la proposition d’offrir une prime de 10 000 euros aux habitants des zones rurales.
« D’autres pays l’ont fait. Il y a la Hongrie, notamment, la Pologne (…) Sans résultat, il n’y a pas eu plus de naissances », a précisé Anne-Sophie Lapix avant de lui lancer : « Ça ne vous gêne pas ? ».
Et la réponse d’Eric Zemmour n’a pas convaincu.
« Ce que vous dites est contredit par toute l’histoire », répond la papa de trois enfants, et bientôt d’un quatrième, premier de sa relation avec Sarah Knafo.
Il appelle à témoin l’histoire de la politique familiale française, laquelle depuis « les années 1930-1940, a prouvé que quand on mettait de l’argent, on [avait] une expansion de la natalité ».
Inexact estime Anne-Sophie Lapix, qui affirme que ces mesures en faveur de la natalité ont été prises chez nos voisins, mais sans succès. Pour relancer la natalité, il faudrait une certaine visibilité sur l’avenir, ce que les jeunes n’auraient pas.
« D’abord, je ne connais pas les chiffres précisément », reconnait l’ancien sniper de C News.
« Eh bien moi je les connais, c’est pour ça que je me permets de [le préciser] », assène la journaliste.
Ces articles devraient vous intéresser :