Ambiance explosive entre Léa Haddad et Saïd Boussif, le PDG de Indifférence Prod, le label qui l’avait signée il y a quelques mois avant une rupture de contrat. Une blague sur Vitaa qui n’a pas été comprise.
Léa, finaliste de la Star Academy, est supposée avoir attiré les foudres de Michael Goldman après s’être comparée à Céline Dion. Elle livre sa version des faits.
En réalité, ses propos sont à prendre au second degré. Avant son entrée au château, la complice de Tiana faisait part de son ambition d’avoir une carrière
à la Beyoncé ou Céline Dion. Cette sortie n’avait pas du goût des fans du programme, et peut-être de Michael Goldman, qui lui reprocheraient un manque d’humilité.
« Ça commence bien côté humilité, Star Academy », avait déploré un internaute, en commentaire de la sortie de la jeune femme.
« Ok ! Léa chante bien mais humainement je suis pas sûre que ce soit la plus appréciable, les mauvais regards et ne pas applaudir les autres dès le premier prime c’est moyen ».
Mais lors d’un entretien accordé à Konbini, où elle apparait aux côtés de Tiana, elle a mis les pendules à l’heure.
Celle-ci lui avait reproché de « faire grave la diva ».
« Je me suis dit ’p*tain’, elle doit être grave hautaine... Au final, non », tempère-t-elle.
Léa, qui présente à ses côtés, a livré quelques explication.
« Moi, toute ma vie, j’ai toujours fait la Beyoncé, la diva... Ceux qui le prennent au sérieux n’ont rien compris. Mais ceux qui le prennent au second degré, ils kiffent de ouf ! Il faut vraiment comprendre mon second degré et après c’est bon », explique-t-elle.
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