Le prince Harry aurait pris la décision de revenir à Londres après avoir été informé par son père de son état de santé.
Le souverain de 75 ans est au prise avec le cancer dont le type n’est pas précisé. Un cancer de la prostate est évoqué. Une rumeur le prétend aux prise avec un cancer des intestins.
Le retour précipité du duc du Sussex a été interprété par la presse britannique comme un signe alarmant concernant la santé du souverain britannique.
Cependant, Stéphane Bern, dans ses propos au Parisien, tempère cette interprétation : « N’exagérons pas, ce n’est pas non plus un retour toutes affaires cessantes, mais dans les prochains jours », affirme le spécialiste des têtes couronnées.
Ce proche de Brigitte Macron insinue ensuite que cette maladie pourrait contribuer à apaiser les tensions familiales persistantes.
« Cette maladie va au moins servir à panser les plaies familiales toujours douloureuses. On sait que les cancers peuvent se développer à la faveur de chocs émotionnels. Et avec Harry, l’épreuve a été très douloureuse », a déclaré l’animateur de France 2.
Il suggère que le prince Harry aurait indirectement contribué au cancer de son père. Stéphane Bern rappelle également que malgré les difficultés entre le père et le fils, il existe toujours un lien affectif fort entre eux : « Charles est un homme très sensible, qui s’est abstenu de tout commentaire quand son fils l’a attaqué par voie de presse ou dans son livre. Entre eux, il y a autant d’amour que d’incompréhension ».
Le retour de Harry à Londres est inévitable, car il aurait perdu toute crédibilité s’il n’avait pas manifesté son émotion.
« Ils vont se retrouver, c’est bien. Harry n’a pas tellement le choix : qu’aurait-on pensé de lui s’il n’avait pas manifesté son émotion ? Il aurait perdu tout crédit », a conclu le spécialiste.