En novembre 2021, l’humoriste avait été mis en examen suite à une plainte pour viol, ce qui avait conduit à son édition de la série "L’Homme de nos vies" qu’il tournait pour M6, aux côtés de comédiennes telles qu’Élodie Frégé et Helena Noguerra. La production et la chaîne avaient alors opté pour le remplacement d’Ary Abittan par un autre acteur, mettant fin à son implication dans le projet.
Cependant, Nicolas de Tavernost, conscient de l’importance de prendre des décisions éclairées dans de telles situations, a déclaré qu’il ne souhaitait pas répéter cette erreur en ce qui concerne Stéphane Plaza. Actuellement visé par deux plaintes pour "violences par conjoint" déposées par d’anciennes compagnes, l’animateur de M6 bénéficie du soutien de la chaîne et de ses collègues.
Sur BFM Business, Nicolas de Tavernost a affirmé que les enquêtes en cours n’avaient fourni aucun élément justifiant une sanction à l’encontre de Stéphane Plaza, précisant même que ses collègues le soutiennent. Une enquête a été commanditée par la chaîne pour examiner la situation du complice de Karine Ferri. La prudence dans de telles affaires est de mise.
Nicolas de Tavernost a rappelé que M6 avait par le passé pris des décisions hâtives en suspendant des personnalités, telles que le juré Gilbert Rozon de "Incroyable Talent" et l’acteur Ary Abittan, qui avaient ensuite obtenu un non-lieu.
« Ça a été le cas d’un acteur (Ary Abittan). Ce qu’on pourrait nous reprocher c’est peut-être d’être allés trop vite, ces deux personnes ont finalement obtenu un non-lieu », a-t-il insisté.
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