Des créateurs sud-africains et même américains comme d’une récente sortie publique avec le prince Albert.
Comme le rapportait le magazine Paris Match, l’ex-tueuse des bassins a été blessée par les commérages à la suite de son entrée dans la famille princière monégasque.
« Monaco est un village peuplé de requins et de vipère », avait-elle dénoncé à l’époque.
Et elle aurait aussi été humiliée l’occasion du vernissage de l’exposition Grace Kelly au Grimaldi Forum.
Son arrivée aurait été retardée afin de permettre à « la maison Hermès de remettre aux ‘vraies’ princesses Caroline et Stéphanie, deux sacs Kelly », est-il indiqué.
Aucun cadeau n’aurait été prévu pour la première dame du Rocher. Des maisons de haute couture l’auraient aussi snobée.
Et depuis, Charlène de Monaco, pour ses sorties publiques, solliciterait des stylistes indépendants.
Et c’est le cas au début de la semaine pour assister à un événement organisé par l’organisation à but non lucratif MonAsia Association ESG Monaco . Pour l’occasion, Charlène de Monaco portait une robe blanche du créateur américain Halston.
L’épouse du prince Albert est fan de la marque Halston, et la robe qu’elle portait est exclusive à Net-A-Porter.
Il s’agit de la robe en jersey à effet cape Sylvie et fait partie de la « capsule nuptiale » des créateurs, a précisé le média britannique The Express.
Cette robe de couleur blanche, ressemblant à une robe de mariée, présente une encolure asymétrique qui se drape sur une épaule.
« La capsule nuptiale de Halston s’inspire de l’héritage de la marque en tant que marque disco incontournable des années 70 ».