
En découvrant que son mari et père de ses deux enfants avait eu une liaison avec la jeune femme qui l’accuse de viol, Lara Micheli aurait pris une décision radicale. Frédéric Beigbeder aurait jeté dehors par sa chère et tendre.
Pierre Palmade, incarcéré depuis sa condamnation définitive à cinq ans de prison, dont deux ans ferme, pour un accident de la route survenu le 10 février 2023, est détenu au centre pénitentiaire de Bordeaux-Gradignan. Si son placement en détention marque une étape dans le traitement judiciaire de cette affaire, son arrivée dans l’établissement semble générer des tensions croissantes.
Selon des sources internes, citées par le magazine France Dimanche, des drones ont été repérés survolant la prison ces derniers jours.
Ces appareils, désormais couramment utilisés pour introduire des objets interdits dans les établissements pénitentiaires, ce qui ne manque pas de susciter des interrogations.
S’agit-il d’une tentative de faire parvenir des produits illicites à Pierre Palmade ? Ou bien d’une initiative de paparazzis en quête de clichés du comédien dans son nouvel environnement ? Ces deux hypothèses alimentent les discussions au sein du personnel pénitentiaire, déjà sous pression, croit savoir l’hebdomadaire people.
Un syndicat pénitentiaire a pris la parole pour dénoncer une situation devenue, selon ses termes, « ingérable ». Les surveillants doivent désormais surveiller à la fois les détenus, les locaux et les menaces aériennes.
De plus, certains craignent que le traitement particulier réservé à l’humoriste ne provoque des tensions parmi les autres prisonniers. Une grogne qui, si elle venait à s’étendre, compliquerait davantage leur quotidien.
Du côté de Pierre Palmade, les remords semblent peser lourdement. Jean-Marie Bigard, un ami proche, a rapporté des confidences que l’humoriste lui aurait faites par téléphone. « Je suis détruit. Je me réveille avec ça, je m’endors avec ça », aurait-il confié, selon des propos relayés par Télé 7 Jours.
Rongé par la culpabilité, Pierre Palmade doit encore purger environ trois ans de sa peine, déduction faite des quelques semaines déjà passées derrière les barreaux.
Si la situation est difficile pour l’artiste, elle l’est également pour les équipes en charge de sa surveillance.
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