Bien que la fratrie ait affiché une unité apparente lors des funérailles de l’acteur, des divergences profondes subsisteraient, notamment autour de la gestion du testament et de la succession.
Selon les information révélée par Gala, l’harmonie apparente des trois héritiers se serait dissipée rapidement après la cérémonie religieuse, organisée le 24 août.
Dès la fin des obsèques, Anouchka Delon et son mari, Julien Dereims, auraient quitté précipitamment la réception. Cela laisserait entrevoir des désaccords persistants au sein du clan Delon.
La discorde porterait principalement sur la répartition de l’héritage.
Le testament d’Alain Delon stipule que 50 % de sa fortune reviennent à sa fille Anouchka, tandis que ses fils Anthony et Alain-Fabien doivent se partager les 50 % restants. Une disposition qui n’aurait pas été aussi bien acceptée qu’il n’y paraît. Des tensions persistent, croit savoir l’hebdomadaire.
Il semblerait que les frères Delon soient particulièrement préoccupés par les avantages financiers dont bénéficie leur sœur grâce à son rôle au sein de la société Alain Delon International Distribution.
">August 24, 2024
En tant que vice-présidente, Anouchka Delon verrait plusieurs de ses frais pris en charge par l’entreprise, ce que ses frères pourraient percevoir comme une répartition inéquitable des ressources familiales.
Ces avantages en nature pourraient faire l’objet d’une réévaluation dans le cadre de la succession.
Le désaccord entre les héritiers aurait également pris une dimension juridique. Chaque partie préparerait ses arguments, avec des avocats prêts à défendre les intérêts respectifs de leurs clients.
Anthony et Alain-Fabien Delon, qui réside encore à Douchy, auraient été clairs dans leur message à Anouchka : aucun compromis ne sera fait.
Ainsi, derrière la façade d’une fratrie unie, les désaccords autour de l’héritage d’Alain Delon révèlent des tensions profondes. Le clan Delon, bien que lié par le deuil, semble toujours divisé par les questions d’argent et de pouvoir.