Une décision surprenante pour celui qui est devenu le chouchou des médias et a conquis la deuxième place dans le baromètre Ifop des personnalités les plus populaires.
Son ascension fulgurante est indéniable, marquée par des mesures audacieuses à la tête du ministère de l’Éducation nationale, telles que l’interdiction de l’abaya, le retour de l’autorité et l’idée novatrice du port de l’uniforme à l’école, rappelle Le Parisien.
Ces initiatives ont propulsé Gabriel Attal au sommet de la cote de popularité, faisant de lui un acteur incontournable de la scène politique française.
Pourtant, malgré son potentiel indéniable, Gabriel Attal ne pourrait être nommé Premier ministre, dans l’éventualité d’un remaniement.
Selon les informations du Parisien, l’entourage du ministre aurait expliqué que "ce n’est pas le moment" et que cela "ne servirait pas le président de le faire bouger".
« Ce n’est pas le moment, ça ne servirait pas le président de le faire bouger, confie son entourage. Sa mission est trop importante pour réparer “l’enfant malade de la République”.
Celui qui a été repéré cet étéen vacances avec Olivier Véran « porte toutes les valeurs d’ordre républicain, de lutte contre le déclin et le déclassement. ».
À 34 ans, il est vrai que Gabriel Attal a le temps pour lui.