Le couple royal le plus glamour de Grande-Bretagne formés par Kate Middleton et le prince William ne serait pas aussi parfait que l’on pourrait le croire ! Un nouvel ouvrage, Guildet Youth, révèle que le prince et la princesse de Galles ont traversé leur lot de crises comme tout le monde.
L’auteur du livre, Tom Quinn, a mené une enquête et recueillie les confidences de sources proches du palais afin d’explorer l’éducation traditionnelle de la famille royale britannique et son impact sur leurs membres au fil du temps. Il a également analysé la relation entre Kate Middleton et l’héritier du trône, qui ne serait pas toujours de tout repos.
Comme tout couple, les deux tourtereaux ont leurs moments de disputes, de cris et de "propos méchants". Mais la duchesse de Cambridge est une personne naturellement apaisante, tandis que William a des troubles émotionnels, des divorces et des perturbations de son enfance qui le rendent plus vulnérable.
Cependant, le couple royal semble rapidement se remettre de ses crises. La future reine consort est décrite comme étant très calme et apaisante, tandis que William est décrit comme ayant un tempérament colérique. Malgré tout, Kate reste fidèle à son style : tranquille.
Comme quoi, même les membres de la famille royale ne sont pas à l’abri des problèmes conjugaux et des tensions familiales. Mais heureusement, Kate et William sont "suffisamment solides pour surmonter leurs différends et continuer à régner avec charme et élégance sur le cœur des Britanniques", conclut l’auteur, cité par le média britannique The Express.
Dans l’ouvrage The Palace Papers de Tina Brown et publié, l’héritier du trône britannique était aussi présenté comme un homme « colérique », « capable de s’emporter à la première frustration », « sujet aux changements d’humeur comme sa mère ».
« Son cercle le plus proche sait qu’il ne faut pas l’approcher quand il est dans une mauvaise période ».
« Il est très difficile à gérer”, rapportait l’écrivaine, révélant aussi qu’en enfant, le prince William a particulièrement inquiété la reine Elizabeth II, car il était décrit par ses nounous comme une « sacrée terreur hors de contrôle ».
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