Les rumeurs allaient bon train concernant la situation financière de Pierre Palmade, mais il semblerait que l’humoriste ait réussi à redresser la barre. Selon un magazine, il aurait désormais un joli pactole à sa disposition.
Dans son livre intitulé "Dites à mon père que je suis célèbre", Pierre Palmade raconte une anecdote surprenante survenue il y a quelques années. Alors qu’il avait été pris pour cible dans la rue par un groupe de jeunes arabes, l’humoriste a soumis une requête pour le moins inattendue à Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur : des cours d’arabe à l’école.
Palmade, qui se décrit comme étant sous l’emprise de la drogue au moment de l’appel, a suggéré que l’arabe devrait être enseigné comme langue vivante dans les lycées et collèges français. "Je voudrais comprendre ce qu’on me dit quand on m’insulte", aurait-il dit à Sarkozy, "et surtout répondre". Le ministre aurait répondu avec un rire gêné avant de dire qu’il devait partir pour une réunion du conseil des ministres.
Cette anecdote, même si elle peut sembler comique à première vue, soulève des questions intéressantes sur la place de l’arabe en France. En effet, comme l’affirme Pierre Palmade dans son livre l’arabe serait la deuxième langue la plus parlée en France, après le français. Et pourtant, elle n’est "pas enseignée dans la plupart des établissements scolaires du pays".
"Je pense que c’est là qu’il a commencé à comprendre que je n’étais pas tout à fait dans mon état normal quand je l’appelais", a indiqué celui qui est toujours hospitalisé, quelques semaines après avoir provoqué un terrible accident de voiture qui a fait de nombreuses victimes.
"L’arabe, c’est tout de même la deuxième langue la plus parlée en France, non ?".
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