Rachida Dati, ministre de la Culture et maire du 7e arrondissement de Paris, fait face à de nouvelles attaques. Si elle affiche une façade impassible en public, ces critiques semblent l’affecter en privé.
Depuis la diffusion d’un documentaire sur BFMTV intitulé L’Insubmersible, le vendredi 11 octobre, elle encaisse des coups qui, cette fois, semblent avoir laissé des traces, rapporte le magazine Public qui l’affirme affectée par les critiques.
Ce portrait de quarante-cinq minutes, qui revient sur sa carrière et ses méthodes politiques, aurait ébranlé celle que l’on surnomme "tata flingueuse" dans les cercles politiques.
Selon une source proche, Rachida Dati aurait été particulièrement affectée par les témoignages diffusés dans le documentaire. Le contenu du film dépeint une figure publique au "culot monstre" et la qualifie même de "Rachida Data ».
Ce surnom ferait référence à son supposé accès à des informations sensibles concernant les cercles politico-économiques français. Ces révélations n’ont pas manqué de faire réagir la ministre, qui aurait tenté, d’après Le Monde, de faire pression pour que le reportage ne voie pas le jour.
Il semblerait même que la société des journalistes de BFMTV ait été informée de possibles pressions exercées sur les actionnaires de la chaîne pour bloquer la diffusion du film.
Malgré ce contexte tendu, Rachida Dati, mère d’une fille de 15 ans, Zohra, continue d’avancer. Depuis des années, elle s’est forgé une réputation de battante dans l’arène politique.
Même si cette dernière attaque l’a profondément touchée, la ministre ne semble pas prête à lâcher prise, précise la publication.
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