Le duc du Sussex, qui a pris la décision de renoncer à son rôle au sein de la monarchie, vivrait très mal cet état de fait.
Cette confidence est livrée par un expert de la famille royale, qui a pris la parole auprès de The Mirror, repris par Voici.
« En raison du cancer de Charles III, les préparatifs de la succession ont commencé au moins cinq ans plus tôt que prévu, et tout le monde se concentre sur la préparation de William et Kate », explique Tom Quinn, auteur de plusieurs ouvrages sur la famille royale.
Charles III, actuellement en traitement contre son cancer, met en place les premières étapes de sa succession, avec une attention particulière portée à l’exclusion involontaire du prince Harry des discussions.
"En raison du cancer de Charles III, les plans de succession ont été accélérés de cinq ans au moins, mettant l’accent sur la préparation de William et Kate", explique Tom Quinn, un expert royal, au Mirrorce lundi.
La grande préoccupation du palais réside dans l’éventualité que le prince William ne puisse pas prendre le trône.
« Bien que ce scénario soit peu probable, la possibilité que William ne soit pas en mesure de succéder est un cauchemar que personne n’ose envisager », souligne-t-il. L’héritier du trône pourrait être en effet lui-même en proie à une maladie.
Dans ce contexte, les projecteurs se tournent naturellement vers le prince Harry, qui, exclu des discussions sur la succession de son père en raison de son départ de la famille royale, ressent profondément cette mise à l’écart. Pourtant, lorsque le prince Charles a été diagnostiqué avec un cancer, le mari de Meghan Markle a tenté de recoller les morceaux.
« Harry ne supporte pas d’être totalement écarté des discussions sur la succession de son père, mais c’est une situation qu’il a lui-même provoquée. Ses choix reflètent parfaitement la maxime ’on récolte ce que l’on sème’. Harry a cherché sa liberté et l’a obtenue, mais elle a un prix, et il est en train de le payer », analyse Tom Quinn.