
Le verdict est tombé. Pierre Palmade a été condamné ce mercredi 20 novembre à cinq ans de prison, dont deux avec sursis, pour l’accident de la route qu’il avait provoqué en février 2023 sous l’emprise de stupéfiants.
Le sort des agences immobilières Stéphane Plaza est suspendu à une décision cruciale ! Selon les révélations de Jean-Marc Morandini, ce jeudi 17 avril 2025 marquera un tournant pour le réseau : devront-elles changer de nom suite à la récente condamnation de Stéphane Plaza ?
La menace plane au-dessus des 568 agences : le nom de Stéphane Plaza pourrait bien disparaître de leurs enseignes après sa condamnation pour violences habituelles sur conjoint. Les franchisés se trouvent face à un dilemme cornélien : conserver le nom qui a fait leur succès ou tourner la page et en choisir un nouveau.
L’heure de vérité approche ! Ce jeudi 17 avril 2025, comme l’a annoncé Jean-Marc Morandini, les agences immobilières Stéphane Plaza sauront si leur identité va être bouleversée.
Cette incertitude fait suite à la condamnation de l’acolyte de Karine Le Marchand, qui, le 18 février dernier, a écopé de 12 mois de prison avec sursis par le tribunal de Paris. La justice l’a reconnu "coupable de violences habituelles sur conjoint pour les faits concernant Amandine, son ex-compagne", tout en le "relaxant pour les faits sur Paola, pas suffisamment étayés", comme l’a précisé France TV.
Bien que Stéphane Plaza ait interjeté appel de cette décision, ses agences franchisées vivent dans l’expectative.
Et certains patrons d’agence se demandant si leur nom de marque, si reconnaissable, va devoir être abandonné.
La réponse tant attendue tombera ce jeudi 17 avril 2025, selon les informations de Jean-Marc Morandini.
C’est en février dernier, lors d’une réunion tendue d’un peu plus d’une heure, que la direction du réseau avait dû faire face à des franchisés plus qu’inquiets pour leur avenir.
"Le délibéré du Tribunal de Paris va empirer l’image de Stéphane Plaza et de la marque", a d’ailleurs déploré Sarah Laassir, avocate en droit immobilier, auprès de Jean-Marc Morandini. De son côté, Maître Vanessa Bouchara a souligné les deux options délicates qui s’offrent au franchiseur.
"Trouver un accord concerté avec les franchisés pour réorganiser le réseau en proposant un changement de nom ou garder le même nom et risquer de faire face à des actions en justice des franchisés en résiliation fautive des contrats", a-t-elle expliqué.
Ces articles devraient vous intéresser :