Vous rêvez de partager l’affiche avec Vanessa Paradis et Laurent Lafitte ? C’est peut-être votre chance !
Une longue enquête de Vanity Fair met en lumière les difficultés professionnelles rencontrées par le prince Harry depuis son départ de la famille royale. Plusieurs témoignages évoquent un manque d’idées et de motivation, le décrivant comme incapable de se mettre au travail.
Selon les sources citées par le magazine, travailler avec Harry serait une expérience difficile. L’une d’elles confie : « Le principal problème, c’est qu’il n’a même pas envie. Dans les réunions de travail, il fait sentir qu’il aimerait ne pas être là. ».
Pourtant, le prince a signé des contrats importants avec Netflix et Spotify, l’obligeant à produire des contenus. Or, il semblerait manquer d’inspiration. « A part le polo, je ne sais pas ce qui intéresse Harry, avoue un de ses proches, sa vie intérieure semble très pauvre. »
Ce manque d’idées se reflète dans ses propositions. Un employé de Spotify raconte à Vanity Fair qu’il « voulait faire un podcast dans lequel il interviewerait Vladimir Poutine ou Mark Zuckerbergen leur demandant comment ils étaient devenus des sociopathes », un projet jugé irréaliste.
Un autre témoin explique : « Il veut être vu comme quelqu’un qui se bat pour changer le monde, le problème, c’est qu’il n’avait pas d’idée. ».
Face à cette impasse, Spotify lui aurait suggéré de « réaliser un podcast où il expliquerait comment réparer des trucs, ou testerait des chocolats chauds en discutant avec un ami », une proposition que Harry aurait refusée. Le second fils de Charles aspire à des projets plus ambitieux.
Ses réalisations concrètes rencontreraient également des difficultés. Bien que Netflix n’ait pas communiqué les chiffres d’audience de sa série sur le polo, Vanity Fair rapporte qu’elles seraient « catastrophiques ».
À titre de comparaison, la bande-annonce de cette série aurait été vue par 684 000 personnes sur X, contre 47 millions de vues pour celle de la série lifestyle de Meghan Markle, With Love, Meghan.
Le magazine souligne ainsi la réussite professionnelle de son épouse, une réalité que même Harry ne contesterait pas. « Ce qu’il aimerait, c’est aller à des événements de charité pendant que Meghan bosse et gagne de l’argent », conclut une de ses connaissances. L’article suggère ainsi que, malgré son retrait de la famille royale, Harry aspirerait à une vie de rentier.
Ces articles devraient vous intéresser :