À deux ans de la fin du mandat d’Emmanuel Macron, Brigitte aspirait à une retraite paisible et bien méritée au Touquet, leur havre de paix. Mais une affaire familiale pourrait bien venir troubler cette tranquillité espérée.
Des éclaircissements sont apportés par le magazine Ici Paris, qui affirme que son passé la rattrape.
Le couple présidentiel, grand amoureux du Touquet, a mis en vente sa villa Monéjan, une charmante bâtisse anglo-normande de 250 mètres carrés.
Située en bord de rue, la sécurisation des lieux posait problème et n’offrait pas l’intimité souhaitée. Brigitte et Emmanuel auraient même jeté leur dévolu sur une nouvelle maison en front de mer, au cœur du prestigieux "triangle d’or" du Touquet.
Seulement voilà, alors que la première dame se réjouissait de s’installer dans leur nouveau nid douillet, son passé familial refait surface.
La Maison Trogneux, du nom de jeune fille de la Première dame, s’apprête à ouvrir une boutique de chocolats en plein cœur de Paris, au 54, rue des Martyrs, dans le IXe arrondissement.
Si l’entreprise familiale possède déjà plusieurs magasins dans le Nord de la France, c’est la première fois que les délicieuses créations Trogneux s’implantent dans la capitale.
Or, d’après Ici Paris, cette ouverture ne ravit pas totalement Brigitte Macron.
L’épouse d’Emmanuel Macron redoute d’être accusée de favoritisme et de promouvoir l’enseigne familiale, alors que la popularité de son mari est au plus bas.
Elle craindrait aussi que cette nouvelle boutique ne devienne la cible de manifestations, de harcèlement en ligne, voire d’actes de vandalisme, comme cela a déjà été le cas à Amiens, où la chocolaterie Trogneux est pourtant une institution.
Autant dire que si ses craintes se concrétisaient, les chocolats familiaux que Brigitte savoure habituellement avec tant de plaisir risqueraient de lui laisser un goût bien amer, et de compromettre sa retraite paisible au Touquet.
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