Le 14 janvier dernier, la princesse de Galles a été admise dans une clinique privée londonienne pour subir une opération chirurgicale abdominale. Bien que l’intervention ait été programmée, les détails exacts de sa condition médicale restent confidentiels.
Le Palais a simplement déclaré que l’opération s’était déroulée avec succès et que Kate devrait rester à l’hôpital pendant une période de convalescence de 10 à 14 jours avant de retourner chez elle.
Comme le rappelle Ici Paris dans son édition de cette semaine, le mystère entourant la raison de cette intervention tardive ainsi que la durée inhabituelle de la convalescence a suscité des interrogations et des spéculations. Certains ont suggéré que des antécédents médicaux familiaux pourraient avoir influencé la décision de Kate de subir cette opération.
En effet, une enquête sur l’histoire médicale de la famille Middleton révèle une série de tragédies liées à la santé. Des cas de tuberculose, de cancer, de leucémie et d’autres maladies graves ont frappé plusieurs membres de la famille dans les générations précédentes.
La récente hospitalisation de la future reine consorta ravivé ces souvenirs douloureux, et le silence persistant autour de la nature exacte de son intervention alimente les inquiétudes. Le fait que le prince William ait fait de nombreux allers-retoursau chevet de sa femme, sans jamais être accompagné de leurs enfants, a également suscité des interrogations sur la gravité de la situation.
Alors que les spéculations vont bon train, certains experts médicaux avancent l’hypothèse d’une hystérectomie, une opération qui implique l’ablation de l’utérus. Cette théorie expliquerait le caractère secret de l’intervention et la longue période de récupération nécessaire.
« On comprendrait mieux alors l’omerta entourant l’opération depuis trois semaines », indique la publication.